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On vous résume la conférence de presse du directeur général de la Régie Autonome des Transports d'Améniopolis (RATA), M. Emile Shovski. #Mégalipoli
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Réponses
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Les études ont montré qu'il serait très couteux de modifier les viaducs de la ligne A pour faire passer des rames plus régulièrement. Il est était envisagé de réduire l'écart entre deux rames en heure de pointe à 77 secondes (au lieu de 90 secondes).
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Plusieurs hypothèses sont à l'étude : doublement de la ligne en créant un viaduc superposé à l'actuel ligne. Création d'une nouvelle ligne parallèle mais tous ces projets ne pourront améliorer la situation sur le court termes.
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Aussi la régie va lancer une consultation des entreprises implantés à proximité de la ligne. L'idée étant de travailler au lissage des périodes de pointes (les plus chargés) en instaurant des horaires décalés.
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Ces mesures permettraient de pousser la fréquentation jusqu'à 1,5 millions de voyageurs quotidiens sans risquer une paralysie de la ligne chaque jour. Seuil qui ne serait atteint qu'en 2035.
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La conférence de presse est maintenant terminée #Mégalipoli
Enfin, M. Emile Shovski aborde la question de la ligne A. Pour rappel, celle-ci support un trafic annuel de 280 Millions de voyageurs. Ce sont, les jours ouvrés près de 1,2 Millions de passagers qui empruntent cette ligne.
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Le seuil de saturation est fixé à 1,25 Millions de passagers par jour ouvré ce qui représente environ 300 Millions de voyageurs sur l'année.
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Les études ont montré qu'il serait très couteux de modifier les viaducs de la ligne A pour faire passer des rames plus régulièrement. Il est était envisagé de réduire l'écart entre deux rames en heure de pointe à 77 secondes (au lieu de 90 secondes).
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Plusieurs hypothèses sont à l'étude : doublement de la ligne en créant un viaduc superposé à l'actuel ligne. Création d'une nouvelle ligne parallèle mais tous ces projets ne pourront améliorer la situation sur le court termes.
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Aussi la régie va lancer une consultation des entreprises implantés à proximité de la ligne. L'idée étant de travailler au lissage des périodes de pointes (les plus chargés) en instaurant des horaires décalés.
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Ces mesures permettraient de pousser la fréquentation jusqu'à 1,5 millions de voyageurs quotidiens sans risquer une paralysie de la ligne chaque jour. Seuil qui ne serait atteint qu'en 2035.